La 18ᵉ édition du festival de Ndjamvi s’ouvre ce 27 novembre à N’Djamena avec un plateau entièrement dédié aux femmes cette année. Placé sous le thème « Culture, bien commun de l’humanité », l’événement met en avant la richesse et la diversité des expressions artistiques féminines. Ce choix symbolique souligne l’importance du rôle des femmes dans la préservation et la transmission des valeurs culturelles.
Plus de vingt groupes sont annoncés en compétition, aux côtés de plusieurs invités spéciaux. Musique, danse, théâtre et arts visuels seront au rendez-vous, offrant au public une mosaïque de performances qui reflètent la vitalité de la scène culturelle tchadienne et africaine. Le festival se veut un espace de rencontre et de dialogue, où les artistes partagent leurs créations tout en sensibilisant sur la culture comme patrimoine universel.
Au-delà de la compétition, le festival de Ndjamvi ambitionne de renforcer la cohésion sociale et de promouvoir la diversité culturelle. En mettant en lumière les talents féminins, il contribue à l’émancipation des artistes et à la reconnaissance de leur rôle dans la société. Ces artistes femmes sont venues du Cameroun voisin avec Queen Nahal, Congo avec Mamancrédo et côte d’ivoire avec l’artiste Ayidissia Cette édition s’annonce donc comme un moment fort de célébration, de réflexion et de communion autour de la culture, véritable bien commun de l’humanité.
