Les rideaux sont définitivement tombés sur la 4e édition du Festival New School Power, ce Samedi 22 février à l’espace Talino Manu de Moursal. N’Djamena a vibré au rythme des sons urbains lors de la clôture de ce festival, un événement qui a rassemblé des milliers de passionnés de la musique, d’art et de la culture.
Ce festival, à sa 4e édition a grandi, et pris forme. New School Power est devenu un rendez-vous incontournable de la musique urbaine au Tchad avec à la clé une particularité unique qui lui est propre, la place qu’il offre à la nouvelle génération de s’exprimer et de se faire découvrir. Placé sous le signe des objectifs de développement durable, le festival a une fois de plus démontré la vitalité de la scène artistique au Tchad et son potentiel à faire rayonner les talents bien au-delà des frontières du pays de Toumaï.
Après plusieurs jours de performances, d’ateliers et de rencontres, le festival a culminé avec une soirée de clôture mémorable. Les artistes locaux et internationaux ont enflammé la scène, offrant au public un spectacle riche en émotions et en énergie. Des beats hip-hop aux mélodies afrobeat, en passant par la danse urbaine, la diversité des styles musicaux a illustré la richesse culturelle du Tchad et de l’Afrique en général.
Un Festival au Service de la relève
Au-delà des performances musicales, ce festival a été une plateforme d’échange et de formation pour les jeunes artistes. Des ateliers sur la production musicale, le management d’artistes et les techniques de scène ont été organisés, offrant aux participants des outils pour professionnaliser leur art. Ces initiatives témoignent de la volonté des organisateurs de soutenir la relève et de créer un écosystème durable pour la musique urbaine au Tchad.
Le Festival New School Power s’impose ainsi comme un événement phare qui s’inscrit dans la durée.
Deuh’b Zyzou