Economie

Le Vice-Président de la Banque mondiale prendra part au 6ème sommet du G5 Sahel

Le Vice-Président de la Banque mondiale prendra part au 6ème sommet du G5 Sahel 1

Le  Sixième sommet  du G5 Sahel qui se déroulera le 20 février 2023 à N’Djamena, verra la participation du Vice-Président de la Banque mondiale, Région Afrique de l’Ouest et du Centre, Ousmane Diagana.

Le vice-président de la Banque mondiale Ousmane Diagana en tant que président du comité de Pilotage de l’Alliance Sahel, portera la voix des partenaires au développement du Sahel et échangera avec les chefs d’état sur la question de développement.

Le séjour du vice-président de la Banque mondiale sera aussi marqué par une rencontre  pour la première fois avec le président de transition Mahamat Idriss Deby et certains membres du gouvernement, ainsi que les partenaires techniques et financiers, pour échanger sur les questions de développement du Tchad.

Le Groupe de la Banque a récemment approuvé un nouveau cadre de partenariat avec le Tchad pour la période 2023-2024, visant à promouvoir la consolidation de la paix, à améliorer la gouvernance et la transparence, et accroître l’accès inclusif aux services et aux infrastructures de base.  « Les engagements de la Banque au Tchad se résument à 19 opérations actives dont 10 projets nationaux et 9 régionaux totalisant un montant de  1,763 milliard de dollars ».

Pour la directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali, le Burkina Faso, le Niger et Tchad Clara De Sousa, la présence du Vice-Président à ce sommet témoigne de l’importance que la Banque mondiale accorde aux sollicitations des pays du Sahel en vue de parvenir à la stabilité et au redressement économique et social de la région. « Notre organisation,  est en phase de concrétisation de ses engagements pris en termes d’amélioration de l’accès des populations aux services de base, de création des emplois, de réhabilitation des infrastructures routières, de relance de l’agriculture et de réponses aux questions transversales liées à la gouvernance, au genre et au changement climatique », déclare-t-elle.