Politique

Le GRAP appuie Idriss Deby Itno dans ses réalisations

Le GRAP appuie Idriss Deby Itno dans ses réalisations 1

Le GRAP appuie Idriss Deby Itno dans ses réalisations

Le Groupe de Réflexion et d’Appui à la politique du Président Idriss Deby ITNO (GRAP.IDI) a animé de séries de conférences de presse les 13 et 14 juillet 2017 au palais du 15 janvier 2017.

Initiés à la sortie des élections d’Avril 2016 par les cadres du parti au pouvoir, les chefs des partis et quelques leaders de la société civile, le GRAP IDI entend rendre visible la politique du chef de l’Etat et de ses réalisations depuis 1990 à nos jours.

Durant deux jours, les leaders du GRAP ont à travers plusieurs conférences de presse montrés les réalisations du président Deby de 1990 à nos jours. Les conférenciers ont tour à tour, débattus neuf différents thématiques. Pour le conférencier Franco Joseph Nateguingar, l’histoire du Tchad est marquée par trois périodes, « la période de 1960 à 1990 a été une période sombre de l’histoire du Tchad, par contre la période de 1990 à 2015 est la période de croissance positive grâce à Idriss Deby Itno et la période de 2015 à 2017 qui est la période de crise économique ».

Parlant des insuffisances dans les réalisations de la vision du chef de l’Etat, Dr Ali Abderaman Haggar évoque le problème du manque d’information interactif entre le président Deby et le peuple tchadien « le Président Idriss Deby ITNO souffre d’une absence criante de communication interactive. Ce n’est pas de sa faute. Un homme ne peut pas tout faire. Il doit être aidé et informé régulièrement, surtout qu’il a la destinée de notre pays en main. Il doit être contredit amicalement. Tout n’est pas certes rose, mais convenons que tout n’est pas noir ». Il ajoute par la suite que l’école tchadienne a eu une avancée considérable qu’il faut reconnaitre depuis l’arrivée au pouvoir de Deby.

Mme Mariam IBET quant à elle, s’attèle sur la problématique de la situation politique de la femme tchadienne. Elle soutient que « la femme tchadienne doit s’exprimer par sa capacité à participer à la gouvernance, à la prise de décision et à la présence dans les hautes sphères de l’administration, la femme tchadienne était absente aux décisions avant 1990, mais aujourd’hui, avec la politique du chef de l’Etat, plusieurs femmes battent le record au gouvernement ».

Miguerta Djiraingué et Solkem Gloria, stagiaires