Depuis hier, la ville de Belém, au Brésil, accueille la COP30, réunissant près de 200 pays. L’objectif est de consolider les engagements mondiaux en matière de réduction des émissions et d’assurer le financement des pays les plus fragiles.
Pour l’Afrique, la situation est particulièrement urgente. Bien que sa contribution aux émissions mondiales soit inférieure à 4 %, le continent est déjà gravement touché par le réchauffement climatique, qui se manifeste par des sécheresses, des inondations et une insécurité alimentaire croissante.
Les représentants africains plaident en faveur d’engagements significatifs, axés sur l’adaptation aux changements climatiques, le transfert de technologies et le développement d’énergies propres. L’application de ces solutions est vitale pour la construction d’un avenir durable et résilient en Afrique.



