Politique

La Casac s’indigne du ‘comportement anti républicain de certains acteurs de la vie associative et politique.

La Casac s’indigne du 'comportement anti républicain de certains acteurs de la vie associative et politique. 1

La Casac s’indigne du  »comportement anti républicain de certains acteurs de la vie associative et politique
Le président de la coalition des associations de la société civile pour l’Action Citoyenne Casac dénonce le « comportement anti républicain de certains acteurs de la vie associative et politique » et appelle les Tchadiens à cultiver la paix.
Dans un communiqué de presse signé, le président de la Casac s’indigne contre les appels à marcher de certaines associations de la société civile et partis politiques. Le président de la Casac trouve inadmissible ces agissements qui, selon visent à écorcher l’image de ce pays. « Le champ politique national est régi par un corpus légal irréprochable », précise Mahamoud Ali Seid qui demande aux pouvoirs publics « de prendre toutes leurs responsabilités pour que tous les fauteurs de troubles qui sèment le désordre au sein de la société soient traduits devant les juridictions compétentes ».
Tout en invitant à la vigilance et à la préservation de la paix et de la stabilité, il assure que les Tchadiens doivent s’approprier de la paix et en faire un levier essentiel pour le développement. « Nul ne peut se prévaloir qu’il sera épargné si la paix venait à être menacée. Ainsi, la préservation de cette paix demeure, un devoir patriotique sacré », a-t-il prévenu.
Mahamoud Ali Seid se réjoui en sus au développement du pays. « Le Tchad connaît depuis deux décennies une évolution significative dans pratiquement tous les domaines. Cette évolution est la résultante incontestable de la paix qui prévaut dans notre pays qui a joué le rôle d’acteur majeur dans le rétablissement de la paix dans beaucoup de pays en Afrique ».

Et les Tchadiens, révèle-t-il, se sentent fière de leur pays. « Est-il besoin de rappeler les vertus de la paix, quand on sait que sans elle, aucun développement ne verra le jour », s’est-il interrogé avant de conclure : « nul n’a le droit de déstabiliser notre pays sur l’autel de ses intérêts. L’intérêt collectif doit être privilégié par tous. Et nous sommes dans l’obligation de transcender toutes nos différences, nos querelles intestines pour qu’ensemble nous pouvons booster davantage l’élan de développement multiforme que connait notre pays ».