Politique

Les éditeurs de la presse réclament de meilleurs traitements

Les éditeurs de la presse réclament de meilleurs traitements 1
Après l’ultimatum des télévisions privées et radios, c’est au tour des éditeurs de la presse de réclamer des meilleurs traitements.
Dans un communiqué conjoint, les présidents de l’Association des éditeurs de la presse privée au Tchad (Aept), Samory Ngaradoumbé, du Patronat de la Presse Tchadienne (Ppt), Allahondoum Juda, et de la Convention des Entrepreneurs de la Presse Privée au Tchad (Ceppt) ont invité les autorités à se pencher sur la situation sanitaire, sécuritaire et économique des différentes rédactions.
Ces organisations s’indignent du comportement des membres de l’ancienne cellule de veille et de sécurité sanitaire qui n’ont pas accordé une attention particulière à la presse tchadienne qui, selon elles, fait dans son l’ensemble un travail remarquable dans la lutte contre la Covid-19.
Les organisations de presse demandent au comité de gestion nouvellement mis en place:  » l’implication des organisations des patrons et éditeurs de la presse dans la commission communication du comité de crise sanitaire; la dotation en matériels de sécurité sanitaire à toutes les rédactions de N’Djaména et des provinces; la subvention exceptionnelle aux organes de presse du Tchad pour leur permettre de faire face à la crise économique; l’autorisation spéciale de circuler à l’intérieur du pays et les badges pour la collecte des informations et la distribution des journaux et la subvention des produits de la presse (journaux) aux bénéficiaires (lecteurs) ».
Ces organes menacent de cesser le travail.
Après l’ultimatum des télévisions privées et radios, c’est au tour des éditeurs de la presse de réclamer des meilleurs traitements.Dans un communiqué conjoint, les présidents de l’Association des éditeurs de la presse privée au Tchad (Aept), Samory Ngaradoumbé, du Patronat de la Presse Tchadienne (Ppt), Allahondoum Juda, et de la Convention des Entrepreneurs de la Presse Privée au Tchad (Ceppt) ont invité les autorités à se pencher sur la situation sanitaire, sécuritaire et économique des différentes rédactions.Ces organisations s’indignent du comportement des membres de l’ancienne cellule de veille et de sécurité sanitaire qui n’ont pas accordé une attention particulière à la presse tchadienne qui, selon elles, fait dans son l’ensemble un travail remarquable dans la lutte contre la Covid-19.Les organisations de presse demandent au comité de gestion nouvellement mis en place:  » l’implication des organisations des patrons et éditeurs de la presse dans la commission communication du comité de crise sanitaire; la dotation en matériels de sécurité sanitaire à toutes les rédactions de N’Djaména et des provinces; la subvention exceptionnelle aux organes de presse du Tchad pour leur permettre de faire face à la crise économique; l’autorisation spéciale de circuler à l’intérieur du pays et les badges pour la collecte des informations et la distribution des journaux et la subvention des produits de la presse (journaux) aux bénéficiaires (lecteurs) ».Ces organes menacent de cesser le travail.